Comment utiliser l’architecture en faveur de populations fragiles et opprimées ? Cette question a mis en échec presque tous ceux qui s’y sont attachés, l’entreprise se soldant invariablement par un repli sur la théorie ou la littérature. C’était sans compter sur Forensic Architecture, qui a choisi d’aborder frontalement le sujet. Depuis le dernier étage d’une école d’art londonienne, ce laboratoire de recherche atypique a réinventé les paramètres de la discipline pour en faire un instrument de justice sociale. Ou l’art de l’architecte légiste.

Retrouvez l’intégralité de cet article, écrit par Edwin Heathcote et publié dans le N°426 de L’Architecture d’Aujourd’hui, en cliquant sur l’image ci-dessous.

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